A TOI POUR L'ETERNITE

Par hasard, Judith rencontre Hànnes dans un supermarché. Quelques jours plus tard, il entre dans sa boutique de luminaires. Hànnes est architecte, il est craquant, le gendre dont rêve toute belle-mère. Les amies de Judith tombent sous le charme.
Mais pourquoi Judith n’arrive pas à se laisser aller et à profiter de cette occasion ?

Auteur : Daniel GLATTAUER

Editeur : Le livre de poche

Année d'édition : 2015

Nombre de pages : 257

Prix : 6,60 €

« Pour elle, il ne s’agissait que d’un « essai manqué » douloureux, la preuve qu’être aimée à la folie ne suffisait pas à éveiller des sentiments réciproques. Il lui était pénible d’être tombée dans un piège aussi évident. Lui, en revanche, avait à faire face au rejet de la femme qu’il avait placée au centre de l’univers, dans le collimateur de ses désirs. 

Maeva vous donne son avis :

17/20

Titre du livre : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ 

Le titre correspond bien à l'histoire. 

Couverture : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

La couverture n'a pas de rapport avec l'histoire.

Personnages : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

On s'attache beaucoup à Judith et on se méfie beaucoup de Hannes. 

Quatrième de couverture : ♥ ♥ ♥ ♥ ♥

Dès le résumé on émet des doutes sur Hannes.

Le titre nous fait penser à une belle histoire d'amour et pourtant ce n'est pas le cas. Il correspond toutefois très bien au roman. Au début du livre, je trouvais que tout allait trop vite, j'étais déçu que l'histoire prenne cette tournure . Puis finalement, quelques pages après, j'ai été envoûtée par le livre. Les pages passaient sans que je puisse arrêter de lire.

Dans ce roman, l'auteur montre que l'amour n'est pas toujours réciproque, et que certaines personne à trop aimer, deviennent envahissantes au point d'en arriver au harcèlement. A travers les pages, on partage le quotidien de Judith qui devient de plus en plus folle, qui se sent persécutée et on voudrait l'aider. C'est un très bon livre même si la fin est un peu trop rapide à mon goût.

A dévorer de toute urgence ! 

(A découvrir aussi du même auteur : Quand souffle le vent du Nord et La septième vague)